Les villages se succèdent, PARNAY, TURQUANT, puis arrivée à MONTSOREAU, (mais ils n’ont pas trouvé la Dame..), un superbe château bien vide…puis CANDES ST MARTIN, autre village de caractère avec ses maisons en pierres blanches de Tuffeau extraites sur place, et bien sûr aussi toutes les caves des Grands Crûs locaux, grottes nées de l’exploitation de ces pierres. Une rencontre nous surprend quelque peu avec un touriste qui interpelle Patrick en lui conseillant de faire un choix… ou faire du vélo…ou faire sa sieste…
La traversée d’AVOINE les laisse béats devant de superbes installations sportives mais dans ce dédale, la traversée reste un peu FOLLE avec une signalisation parfois difficile à trouver.
Retour aux bords de Loire à NEMAN après le franchissement de l’Indre, et les km défilent, dans le bois de CHETIF, sur une voie cyclo, malgré un revêtement en stabilisé mais bien roulant.
A Ile ST MARTIN, retour à la route partagée, la D 16, un peu bombée, en devers…le handbike est systématiquement attiré vers les bordures, donc obligation de rouler au milieu de la route, au grand dam d’Arlette.
Mais tout va bien et malgré leurs fréquents « arrêts photos», presque 40 minutes en cumulé, ils arrivent au point pique nique à 12h 30, une zone ombragée, juste avant de passer sous l’A85, a été retenue par les « Patricia » toujours aussi performantes dans leur rôle d’assistance.